Selfbondage sur chaise d’inquisition au gîte fétichistes

Catégories : Selfbondage auto bondage Gîte fétichistes
il y a 11 mois

Suite à mes aventures lors de mon selfbondage avec le treuil, j’ai décidé de tenter la chaise d’inquisition. C’est un peu comme si elle me tendait les bras pendant mon précédent selfbondage. Ce qui m’a intrigué, c’est l’espèce de paillasson en plastique et plutôt mou posé sur son siège. Je n’imaginais pas que cela puisse faire mal, bien au contraire.

J’ai donc demandé à Marc si il pouvait me conseiller. Comme précédemment, sa réponse ne tarda pas.

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Il est donc allé la chercher dans son congélateur, (prévoyant le sadique) avant de revenir au donjon. Il m’a indiqué comment attacher ma taille avec la chaîne prévue à cet effet puis fait voir comment entraver mes chevilles. Pour le poignet gauche c’était facile, le bracelet est fixé à la chaise d’inquisition, mais pour la droite, l’astuce consiste à bloquer les menottes à l’anneau avec un cadenas. Une fois les menottes bloquées, il m’a indiqué que j’en aurai pour environ deux heures.

Et là, comme toujours avant de vous laisser tranquille, le sadique vous indique l’armoire à sextoys en vous disant d’utiliser ce que vous avez envie, sans oublier, l’enfoiré, de préciser qu’avec un vibro ou magic wand massager posé sur une cage de chasteté cela donne des résultats sympathiques.

Une fois qu’il fut parti, je n’ai pas tardé à m’équiper, la serrure de glace ne pouvait attendre trop longtemps sauf si j’allais la mettre dans le congélateur de mon gîte. L’inconscient que je suis n’avais pas envie d’attendre.

Une fois nu, j’ai donc mis la cage de chasteté que j’ai fermée, puis des pinces à sein. Un joli gode me faisait de l’oeil, et, nous allons dire qu’il a insisté lourdement pour s’incruster dans mon petit « oeillé ». Comme conseillé, j’ai pris le magic wand que j’ai branché dans la prise juste à côté de la fameuse chaise d’inquisition m’attirant comme les sirènes de l’histoire d’Ulysse. Histoire justement de ne pas me faire charmer, j’ai pris la fameuse cagoule BDSM qui fait planer.

Le moment de m’asseoir et de m’entraver avait sonné.

Tout en maintenant le gode menaçant de s’échapper, j’ai donc pris place sur le fameux paillasson qui trompe bien son monde. Attacher derrière le grand dossier de bois la chaîne me maintenant assis fut facile. Fixer mon poignet gauche aussi. Poser le magic wand massager sur ma cage de chasteté et l’allumer aussi HUMMM. Si enfiler et fermer la cagoule BDSM fut plus délicat d’une main, j’ai un peu galéré pour fermer les menottes sur mon poignet.

Je n’ai pas vraiment entendu les clics des menottes mais j’ai bien senti que je les avais un peu trop serrée. A partir de là, j’ai commencé à savourer les vibrations sur la cage de chasteté dont je comblais la totalité du tube. Ce qui a commencé à me déconcentrer de ces agréables sensations, c’est le fameux paillasson. Au bout de quelques minutes, cette saloperie ça pique les fesses. Pensant que je pouvais me replacer pour en diminuer les effets, j’ai donc bougé les dîtes fesses. Sauf que !

Sauf que à cause de la chaîne m’obligeant à rester assis, le mouvement était très limité. A cela se rajoute que le gode logé entre elles, a dont fait son office. C’est là que j’ai commencé à me dire que deux heures cela risquait d’être long.

Au bout d’un moment, j’ai pu faire abstraction du paillasson pour me concentrer sur les vibrations du magic. Hélas, les picots s’acharnaient à s’enfoncer dans mon épiderme. Pour augmenter les effets « plaisir » et donc compenser la désagréable sensation de me faire dévorer les fesses, j’ai décidé de bouger pour m’empaler sur le gode et chercher ainsi le plaisir. Si ce la faisait bouger également mes pinces à sein, ces forts plaisantes sensations n’ont durées qu’un moment qui était pourtant fort agréable, le plaisir et les endomorphines s’étant associés.

Pourquoi qu’un moment ? Tout simplement parce que le psychopathe s’étant jeté dans les griffes de l’inquisiteur a fini par faire glisser le magic ailleurs que là où c’était bien bon.

Pour chercher le plaisir, outre le selfbondage et l’imaginaire de nos films dans ces moments là, il ne me restait plus que le gode pour compenser les fameux picots. Au bout d’un moment, on a l’impression qu’ils vous perforent ! ! ! Partagé entre les aider et essayer de compenser par mon auto sodomie, j’ai choisi de faire une longue chevauchée. En effet, ces mouvements se reportant sur mes pinces à sein, les sensations restaient encore assez agréables.

Oui mais ! Malgré la climatisation, ce type de sport cela donne chaud, surtout sous cagoule, et cela devient épuisant. L’inquisiteur (la chaise) a fini par gagner et me faire avouer tout ce qu’il voulait. Cet espèce d’enfoiré n’a pas lâché l’affaire, il m’a maintenu assis le temps imparti par la serrure de selbondage BDSM ou fétichismes

Au bout des deux heures, je ne sentais plus mes fesses, j’étais complètement avachi et sentais le magic, hélas toujours contre ma cuisse. Lorsque le cadenas m’a libéré, mon premier réflexe a été de retirer la cagoule. J’ai finalement changé d’avis, parce que cela faisait monter les bras et donc, tirer sur les pinces à sein. Deux heures de pinces à sein, cela pique lorsque on les retire !

Une fois mes tétons libérés, je n’ai pas tardé à retirer la cagoule dans laquelle je baignais. Mes cheveux étaient aussi mouillés que si j’étais allé à la piscine. Retirer la chaîne me maintenant assis fut aussi assez hard ! En effet pour cela il faut se pencher et donc, s’appuyer uniquement sur une fesse qui vous rappelle qu’elle aussi, souhaite être libérée. Idem pour les chevilles mais là, c’est le haut des cuisses. Si me lever fut un grand et bruyant soulagement, j’avais l’impression que mon épiderme continuait de piquer. Il était très chaud, les picots étaient imprimés dans mes chairs.

Pour me remettre de mes émotions, après avoir retiré le gode et la cage de chasteté, j’ai pris une douche à la piscine avant d’y faire un plongeon. L’eau fraîche (27°) a fait du bien à ma tête et mon corps, par contre, au niveau des fesses et des tétons, ce selfbondage a duré bien plus que deux heures. Mais, j’avoue que finalement c’était bien bon et que, si j’ose le refaire, j’attacherai le magic à la cage de chasteté, il n’est pas impossible que dans cette configuration j’arrive à jouir.

Affaire à suivre si je n’essaye pas plutôt autre chose pendant ma semaine de célibataire au gîte fétichistes.

Fin

  • Si Marc existe réellement
  • Si le gîte fétichistes existe réellement
  • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
  • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
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Excellent 😈
Et le pire dans cette très belle histoire, c'est qu'il est possible en vrai de prendre la place de cet homme. Je craque parce que je rêve de pouvoir venir
Je confirme, le pire pour moi, c'est que j'ai trop envie d'y aller
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